Les autres métiers du bien-être
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Comme la naturopathie appréhende l’homme dans son ensemble, l’accès au bien-être pourra se faire par différentes voies permettant d’améliorer l’état mental, mais aussi l’état émotionnel et l’état physique, chacun entraînant des répercussions positives sur les deux autres.
Entrent dans les techniques du bien-être, l’aspect esthétique et extérieur de la personne car une personne qui est bien dans sa peau et prend soin de sa beauté et de la forme de son corps, peut se sentir mieux.
Les soins esthétiques et cosmétiques et l’amélioration de l’aspect général extérieur de la personne vont inclure des métiers comme :
Plusieurs techniques de bien-être peuvent être utilisées en même temps sans contre-indications. Les médecines douces sont dites alternatives ou encore non-conventionnelles pour les distinguer de la médecine conventionnelle ou allopathique.
Rappelons que l’objectif premier de la naturopathie est un accompagnement de la personne pour prévenir la maladie et atteindre un bien-être général. Les soins peuvent aussi venir en complément de la médecine conventionnelle tout en ne se substituant jamais à celle-ci.
En France, 7 personnes sur 10 auraient déjà eu recours à la médecine douce selon une étude menée en 2019 par Harris Intercative pour Santéclair (statistiques complémentaires sur les Français et leur point de vue sur les pratiques de santé alternatives) et l’engouement général pour prendre soin de son corps et de son bien-être général n’a cessé d’augmenter ces dernières années.
Les métiers du bien-être offrent, en plus d’un choix de métiers variés, des débouchés importants et la possibilité de se former tout au long de la vie. Ainsi un naturopathe, pourra se former tout en exerçant son métier, afin d’avoir plus de compétences dans certains domaines (exemple : cuisine naturopathique, cosmétique naturopathique, apithérapie…).
L’Organisation Mondiale de la Santé à pu recenser un peu plus de 400 pratiques de thérapies pouvant être assimilées à la médecine douce.
Ajoutons que le bien-être peut encore être élargi à notre environnement direct. Comment vivre mieux dans notre logement ? Des personnes se forment de plus en plus à des techniques comme le Feng-Shui (aménager son intérieur de façon harmonieuse sans occasionner de nœuds énergétiques par exemple) ou l’étude de nouveau matériaux de construction moins polluants. Au bureau, on fait appel à des ergonomes qui aménagent l’espace de travail pour qu’il fasse moins mal au corps et permette d’adopter de bonnes positions pour éviter les TMS (troubles musculo squelettiques). La géobiologie va détecter les réseaux telluriques aux abords des habitations ou la présence des sources souterraines. Le praticien de géobiologie pourra être consulté avant la construction d’une maison.
Le bien-être passe par la couleur et la lumière et l’on se sert de plus en plus des connaissances en chromothérapie pour peindre nos intérieurs afin d’éveiller la créativité dans une pièce ou d’aider à retrouver plus d’énergie dans une autre pièce selon les couleurs choisies.
Quant à la luminothérapie, elle est utilisée pour aider à passer les saisons d’hiver en évitant la dépression saisonnière due au manque de luminosité. Cette thérapie douce va permettre d’éviter la dépression et la prise de médicaments qui peut suivre ce diagnostic.
La naturopathie permet d’accéder à un ensemble de connaissances et de compétences liées à l’utilisation de techniques préventives et/ou curatives comme l’aromathérapie ou la phytothérapie par exemple. C’est une discipline qui aide la personne à trouver la voie de la nature pour améliorer son état de santé.
Le naturopathe peut exercer certaines spécialités dans l’exercice de son métier au quotidien ou recommander ces spécialités comme c’est le cas s’il oriente un patient vers un ostéopathe. Dans la catégorie des métiers du bien-être l’offre est très étendue et de nouveaux métiers ont récemment vu le jour.
Le naturopathe peut exercer certaines spécialités dans l’exercice de son métier au quotidien ou recommander ces spécialités comme c’est le cas s’il oriente un patient vers un ostéopathe. Dans la catégorie des métiers du bien-être l’offre est très étendue et de nouveaux métiers ont récemment vu le jour.
Description du bien-être et des nouveaux métiers
De plus en plus de personnes décident de s’orienter vers un métier du bien-être, tout simplement parce qu’elles veulent transmettre aux autres les meilleurs moyens de se sentir mieux au quotidien et d’améliorer leur état de santé général.Comme la naturopathie appréhende l’homme dans son ensemble, l’accès au bien-être pourra se faire par différentes voies permettant d’améliorer l’état mental, mais aussi l’état émotionnel et l’état physique, chacun entraînant des répercussions positives sur les deux autres.
Entrent dans les techniques du bien-être, l’aspect esthétique et extérieur de la personne car une personne qui est bien dans sa peau et prend soin de sa beauté et de la forme de son corps, peut se sentir mieux.
Les soins esthétiques et cosmétiques et l’amélioration de l’aspect général extérieur de la personne vont inclure des métiers comme :
- Esthéticienne ;
- Coiffeuse ;
- Maquilleuse professionnelle ;
- Prothésiste ongulaire ;
- Technicienne de Spa,
- Nutritionniste ;
- Masseur-kinésithérapeute ;
- Coach sportif ;
- Professeur de yoga et autres techniques de gymnastiques douces ;
- Conseillère en image…
- La psychothérapie ;
- La psychogénéalogie ;
- La thérapie EMDR ou intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires ;
- L’art-thérapie ;
- L’hypnose ;
- L’utilisation des Fleurs de Bach pour traiter des états émotionnels ;
- Les soins d’aromathérapie et de phytothérapie ;
- La PNL (programmation neuro-linguistique) ;
- L’AT (Analyse transactionnelle) ;
- La sophrologie ;
- La relaxation
- La méditation ;
- La musicothérapie.
- La diététique ;
- La nutrithérapie ;
- La chrono-nutrition ;
- L’oligothérapie ;
- La respiration et les techniques alliant exercices physiques coordonnés à la respiration comme la sophrologie, le yoga, le tai chi chuan, etc.
- Les techniques d’acupression pour dénouer les nœuds énergétiques : acupuncture, acupression, shiatsu, réflexologie, EFT, etc.
- Phytothérapie, herboristerie et aromathérapie peuvent aussi faire partie de cette section ;
- La balnéothérapie et tous les soins d’eau (thalassothérapie, cures thermales) ;
- La sablothérapie aussi appelée psammatothérapie – ou encore arénothérapie - pour soulager les rhumatismes, traiter l’arthrose, stimuler la circulation sanguine.
- La chiropractie ;
- L’ostéopathie ;
- L’homéopathie ;
- La kinésiologie ;
- La lithothérapie (thérapie par les pierres et les cristaux) ;
- Le jeûne, la monodiète, la cure de détox…
Plusieurs techniques de bien-être peuvent être utilisées en même temps sans contre-indications. Les médecines douces sont dites alternatives ou encore non-conventionnelles pour les distinguer de la médecine conventionnelle ou allopathique.
Rappelons que l’objectif premier de la naturopathie est un accompagnement de la personne pour prévenir la maladie et atteindre un bien-être général. Les soins peuvent aussi venir en complément de la médecine conventionnelle tout en ne se substituant jamais à celle-ci.
En France, 7 personnes sur 10 auraient déjà eu recours à la médecine douce selon une étude menée en 2019 par Harris Intercative pour Santéclair (statistiques complémentaires sur les Français et leur point de vue sur les pratiques de santé alternatives) et l’engouement général pour prendre soin de son corps et de son bien-être général n’a cessé d’augmenter ces dernières années.
Les métiers du bien-être offrent, en plus d’un choix de métiers variés, des débouchés importants et la possibilité de se former tout au long de la vie. Ainsi un naturopathe, pourra se former tout en exerçant son métier, afin d’avoir plus de compétences dans certains domaines (exemple : cuisine naturopathique, cosmétique naturopathique, apithérapie…).
L’Organisation Mondiale de la Santé à pu recenser un peu plus de 400 pratiques de thérapies pouvant être assimilées à la médecine douce.
Ajoutons que le bien-être peut encore être élargi à notre environnement direct. Comment vivre mieux dans notre logement ? Des personnes se forment de plus en plus à des techniques comme le Feng-Shui (aménager son intérieur de façon harmonieuse sans occasionner de nœuds énergétiques par exemple) ou l’étude de nouveau matériaux de construction moins polluants. Au bureau, on fait appel à des ergonomes qui aménagent l’espace de travail pour qu’il fasse moins mal au corps et permette d’adopter de bonnes positions pour éviter les TMS (troubles musculo squelettiques). La géobiologie va détecter les réseaux telluriques aux abords des habitations ou la présence des sources souterraines. Le praticien de géobiologie pourra être consulté avant la construction d’une maison.
Le bien-être passe par la couleur et la lumière et l’on se sert de plus en plus des connaissances en chromothérapie pour peindre nos intérieurs afin d’éveiller la créativité dans une pièce ou d’aider à retrouver plus d’énergie dans une autre pièce selon les couleurs choisies.
Quant à la luminothérapie, elle est utilisée pour aider à passer les saisons d’hiver en évitant la dépression saisonnière due au manque de luminosité. Cette thérapie douce va permettre d’éviter la dépression et la prise de médicaments qui peut suivre ce diagnostic.
Chaque école propose des programmes plus ou moins approchants. Il faut bien étudier le contenu de la formation avant de choisir l’école qui vous conviendra le mieux.
Pour autant, même après avoir obtenu sa certification et être en mesure d’exercer, le naturopathe éprouvera souvent le besoin de parfaire ses connaissances s’il est passionné par son métier ou s’il veut avoir une ou plusieurs spécialités qui nécessitent des formations complémentaires. En voici quelques exemples :
Le naturopathe peut aussi faire ses propres recherches, assister à des conférences et des colloques en lien avec certaines pathologies les plus fréquentes et se spécialiser dans la prévention des ces pathologies. Par exemple, il peut travailler en amont chez des sujets qui souffrent et souffriront de plus en plus d’arthrose en conseillant sur des aliments et des compléments nutritionnels permettant d’éviter les crises. Il peut conseiller certaines pratiques sportives douces et ciblés pour ce type de pathologies. Le naturopathe peut aussi se spécialiser dans les troubles du sommeil et de l’endormissement ou encore dans l’aide à l’arrêt du tabac en conseillant certaines médecines douces (relaxation, sophrologie, hypnose) et en conseillant des traitements par des plantes adaptées et un travail régulier sur la respiration. Il pourra aider la personne à reprendre l’habitude de se nourrir de façon raisonnable et sans excès, ce qui peut souvent représenter un problème pour une personne qui cherche à arrêter de fumer.
Les spécialisations possibles en naturopathie
L’enseignement du naturopathe est basé sur des connaissances dans plusieurs domaines notamment : l’anatomie, la physiologie, l’aromathérapie, la phytothérapie, les techniques de soins corporels, l’appareil respiratoire et les techniques de respiration, l’iridologie, la gemmologie, l’équilibre alimentaire, l’hygiène vitale, etc.Chaque école propose des programmes plus ou moins approchants. Il faut bien étudier le contenu de la formation avant de choisir l’école qui vous conviendra le mieux.
Pour autant, même après avoir obtenu sa certification et être en mesure d’exercer, le naturopathe éprouvera souvent le besoin de parfaire ses connaissances s’il est passionné par son métier ou s’il veut avoir une ou plusieurs spécialités qui nécessitent des formations complémentaires. En voici quelques exemples :
⇒ Aromathérapeute : la formation de naturopathe aborde certes l’usage des huiles essentielles et leurs propriétés thérapeutiques, mais comme l’on recense environ 200 huiles essentielles, il est difficile d’assimiler tout lors d’une formation de naturopathie. Si le naturopathe veut vraiment maitriser son sujet, il n’hésitera pas à suivre une spécialisation en aromathérapie pour connaitre les indications et contre-indications de chaque HE et les différentes façons de les appliquer selon les cas. Cela lui permettra de pouvoir mieux conseiller ses patients.
⇒ Phytothérapeute : comme pour la spécialisation en aromathérapie, le naturopathe peut choisir de se former à la phytothérapie. Cela lui permettra de pouvoir conseiller telle plante pour tel problème de santé et de savoir sous quelle forme administrer la plante (décoction, infusion, macération, en application locale sous forme de cataplasme ou en ingestion, etc.). L’usage des plantes n’est pas anodin et une mauvaise utilisation – comme pour les huiles essentielles – peut provoquer des incidents sur la personne. Il est donc utile, lorsque l’on souhaite prescrire des traitements à base de plantes, de faire une formation complémentaire en phytothérapie.
⇒ Apithérapeute : cette formation permet de mieux connaitre tous les produits de l’apiculture. Le miel et tous les produits de la ruche ont des vertus intéressantes pour la santé et la beauté naturelles. Ils sont utilisés depuis des millénaires. Pour la peau, le miel a des vertus cicatrisantes, adoucissantes et apaisantes et si vous consommez régulièrement du miel de bonne qualité, vous pourrez éviter certains problèmes de santé. En hiver, on pourra conseiller la prise de miel mais aussi de pollen, de propolis ou de gelée royale.
⇒ Mycothérapie : certaines propriétés des champignons et de leurs dérivés sont connues pour améliorer l’état de santé générale. Le naturopathe peut se spécialiser dans cette discipline afin de mieux connaitre les indications thérapeutiques de nombres de champignons médicinaux et leurs applications pour le maintien en bonne santé du patient.
⇒ Iridologue : lors de sa formation initiale en naturopathie, le naturopathe apprend à observer l’œil de son patient et en particulier l’iris pour déceler certains troubles. L’iris est découpée par tranches et chaque partie correspond à un organe du corps. Il serait ainsi possible de déceler une fragilité au niveau d’un organe. Le naturopathe pourra se spécialiser en iridologie afin de mieux maîtriser cette technique très utile pour effectuer un bilan vital lors d’une entrevue avec le patient.
⇒ Cuisinier naturopathe : pour atteindre un certain bien-être global, toute personne doit savoir notamment bien se nourrir. Cela peut sembler vague et ne pas forcément vouloir dire la même chose pour tout le monde. Un naturopathe qui s’intéresse de près à la cuisine et à la nutrition équilibrée pourra se former pour devenir cuisinier naturopathe. La formation va lui permettre d’apprendre plusieurs techniques grâce à des ateliers à thèmes comme : l’approche végétarienne, l’approche végétalienne, l’alimentation anti-cholestérol, la revitalisation de l’organisme, la détox, comment prévenir le diabète dans l’assiette, les super aliments dans la cuisine…
⇒ Naturopathe animalier : le naturopathe qui est passionné par les animaux peut faire de cette double passion (naturopathie et amour des animaux) son métier. Si on connait déjà bien l’ostéopathie pour animaux (notamment pour les chevaux), il est de plus en plus fréquent d’entendre parler de la naturopathie animalière. C’est pourtant une spécification qui offre des débouchés car si l’on met un point d’honneur à utiliser toutes les techniques naturelles possibles pour nous maintenir en bonne santé, il est logique d’avoir accès à ces mêmes techniques lorsqu’il s’agit de soigner son animal de compagnie. On utilisera moins de produits nocifs dans le choix d’articles anti parasitaires et l’on se penchera davantage sur des soins naturels. La pratique s’apparente à la naturopathie pour l’humain et le naturopathe fait un bilan vital avec l’aide du maitre de l’animal, il l’observe et mène son bilan pour proposer des techniques naturelles afin d’aider l’animal à faire face à certains désagréments (mauvaise digestion, perte de poils, etc.). Si le naturopathe animalier ne se substitue pas au vétérinaire dans le cas de troubles de santé importants, il peut apporter plus de bien-être à l’animal dans bien des cas.
⇒ Diététique : le naturopathe peut aussi se former en diététique pour conseiller ses patients à mieux s’alimenter, savoir comment composer ses menus, manger équilibré et surtout manger pour améliorer sa santé et son bien-être. Même si sa formation de naturopathe lui permet déjà d’avoir une bonne connaissance de l’alimentation, des nutriments conseillés pour un bon équilibre alimentaire et des différents apports journaliers recommandés (AJR), il peut toujours accéder à des connaissances plus complètes et pointues en se spécialisant en diététique.
⇒ Sophrologie : Se spécialiser en sophrologie est un bon complément à la formation de naturopathe. La sophrologie permet de traiter de façon douce et progressive un problème particulier qui peut nuire à sa santé globale. Ainsi, on pourra utiliser la sophrologie pour aider une personne à arrêter de fumer, lui apprendre à gérer son stress au travail, l’aider à retrouver un meilleur sommeil, l’aider à surmonter le trac (préparation avant une épreuve sportive ou préparation avant un entretien oral important).
⇒ Conseil et vente : le naturopathe peut bien sûr être consulté par certaines entreprises pour donner son avis lors du processus de fabrication d’un produit naturel. Il peut aussi suivre une formation complémentaire aux techniques de vente afin de pouvoir proposer la vente de produits naturels comme les produits alimentaires biologiques, les huiles essentielles, les plantes médicinales, les compléments alimentaires, les cosmétiques naturels… Il peut travailler dans une coopérative de fruits et légumes bio, une enseigne de produits bio, un magasin de cosmétiques naturels. Il pourra aussi, proposer la vente de produits naturels au sein de son cabinet (exemple : proposer des huiles essentielles ou des compléments alimentaires pour rétablir l’équilibre et le bien-être).
⇒ Ecriture : le naturopathe pourra, après quelques années de pratique de son métier, participer à un collectif d’écriture ou écrire un ouvrage dans un domaine précis qui lui est cher. C’est ainsi que de nombreux livres de références en naturopathie proviennent des travaux personnels et de recherches menées sur plusieurs années de naturopathes passionnés par leur métier. A l’ère du numérique, certains vont plutôt s’orienter sur la conception et la réalisation d’un site internet dédié en s’entourant de professionnels de l’informatique et en construisant le contenu du site soit seuls, soit avec des spécialistes d’autres métiers du bien-être.
⇒ Enseignement/Formation : là encore, il faut attendre d’avoir quelques années d’expérience et avoir renforcé ses propres connaissances théoriques et pratiques du métier pour transmettre ensuite ce savoir. Cependant, un naturopathe passionné par son métier et ayant un réel attrait pour la formation, pourra se proposer auprès d’écoles et de centres de formations pour enseigner la naturopathie.
⇒ Chrono-nutrition : la chrono-nutrition se base sur l’horloge biologique et permet de pouvoir consommer certains aliments – qui seraient interdits dans les régimes amaigrissants – à certains moments de la journée. La chrono-nutrition permet de pouvoir manger de tout sans subir de déséquilibres alimentaires comme dans un régime trop restrictif. Elle a été conçue par le Docteur Delabos, lors d’études menées sur des personnes carencées de son service gériatrie. La chrono-nutrition permet aussi de retrouver plus de vitalité, un meilleur sommeil et d’être globalement plus en forme. Une spécialisation du naturopathe en chrono-nutrition lui permettra d’aider ses patients à mieux se nourrir et à se sentir mieux globalement.
⇒ Phytothérapeute : comme pour la spécialisation en aromathérapie, le naturopathe peut choisir de se former à la phytothérapie. Cela lui permettra de pouvoir conseiller telle plante pour tel problème de santé et de savoir sous quelle forme administrer la plante (décoction, infusion, macération, en application locale sous forme de cataplasme ou en ingestion, etc.). L’usage des plantes n’est pas anodin et une mauvaise utilisation – comme pour les huiles essentielles – peut provoquer des incidents sur la personne. Il est donc utile, lorsque l’on souhaite prescrire des traitements à base de plantes, de faire une formation complémentaire en phytothérapie.
⇒ Apithérapeute : cette formation permet de mieux connaitre tous les produits de l’apiculture. Le miel et tous les produits de la ruche ont des vertus intéressantes pour la santé et la beauté naturelles. Ils sont utilisés depuis des millénaires. Pour la peau, le miel a des vertus cicatrisantes, adoucissantes et apaisantes et si vous consommez régulièrement du miel de bonne qualité, vous pourrez éviter certains problèmes de santé. En hiver, on pourra conseiller la prise de miel mais aussi de pollen, de propolis ou de gelée royale.
⇒ Mycothérapie : certaines propriétés des champignons et de leurs dérivés sont connues pour améliorer l’état de santé générale. Le naturopathe peut se spécialiser dans cette discipline afin de mieux connaitre les indications thérapeutiques de nombres de champignons médicinaux et leurs applications pour le maintien en bonne santé du patient.
⇒ Iridologue : lors de sa formation initiale en naturopathie, le naturopathe apprend à observer l’œil de son patient et en particulier l’iris pour déceler certains troubles. L’iris est découpée par tranches et chaque partie correspond à un organe du corps. Il serait ainsi possible de déceler une fragilité au niveau d’un organe. Le naturopathe pourra se spécialiser en iridologie afin de mieux maîtriser cette technique très utile pour effectuer un bilan vital lors d’une entrevue avec le patient.
⇒ Cuisinier naturopathe : pour atteindre un certain bien-être global, toute personne doit savoir notamment bien se nourrir. Cela peut sembler vague et ne pas forcément vouloir dire la même chose pour tout le monde. Un naturopathe qui s’intéresse de près à la cuisine et à la nutrition équilibrée pourra se former pour devenir cuisinier naturopathe. La formation va lui permettre d’apprendre plusieurs techniques grâce à des ateliers à thèmes comme : l’approche végétarienne, l’approche végétalienne, l’alimentation anti-cholestérol, la revitalisation de l’organisme, la détox, comment prévenir le diabète dans l’assiette, les super aliments dans la cuisine…
⇒ Naturopathe animalier : le naturopathe qui est passionné par les animaux peut faire de cette double passion (naturopathie et amour des animaux) son métier. Si on connait déjà bien l’ostéopathie pour animaux (notamment pour les chevaux), il est de plus en plus fréquent d’entendre parler de la naturopathie animalière. C’est pourtant une spécification qui offre des débouchés car si l’on met un point d’honneur à utiliser toutes les techniques naturelles possibles pour nous maintenir en bonne santé, il est logique d’avoir accès à ces mêmes techniques lorsqu’il s’agit de soigner son animal de compagnie. On utilisera moins de produits nocifs dans le choix d’articles anti parasitaires et l’on se penchera davantage sur des soins naturels. La pratique s’apparente à la naturopathie pour l’humain et le naturopathe fait un bilan vital avec l’aide du maitre de l’animal, il l’observe et mène son bilan pour proposer des techniques naturelles afin d’aider l’animal à faire face à certains désagréments (mauvaise digestion, perte de poils, etc.). Si le naturopathe animalier ne se substitue pas au vétérinaire dans le cas de troubles de santé importants, il peut apporter plus de bien-être à l’animal dans bien des cas.
⇒ Diététique : le naturopathe peut aussi se former en diététique pour conseiller ses patients à mieux s’alimenter, savoir comment composer ses menus, manger équilibré et surtout manger pour améliorer sa santé et son bien-être. Même si sa formation de naturopathe lui permet déjà d’avoir une bonne connaissance de l’alimentation, des nutriments conseillés pour un bon équilibre alimentaire et des différents apports journaliers recommandés (AJR), il peut toujours accéder à des connaissances plus complètes et pointues en se spécialisant en diététique.
⇒ Sophrologie : Se spécialiser en sophrologie est un bon complément à la formation de naturopathe. La sophrologie permet de traiter de façon douce et progressive un problème particulier qui peut nuire à sa santé globale. Ainsi, on pourra utiliser la sophrologie pour aider une personne à arrêter de fumer, lui apprendre à gérer son stress au travail, l’aider à retrouver un meilleur sommeil, l’aider à surmonter le trac (préparation avant une épreuve sportive ou préparation avant un entretien oral important).
⇒ Conseil et vente : le naturopathe peut bien sûr être consulté par certaines entreprises pour donner son avis lors du processus de fabrication d’un produit naturel. Il peut aussi suivre une formation complémentaire aux techniques de vente afin de pouvoir proposer la vente de produits naturels comme les produits alimentaires biologiques, les huiles essentielles, les plantes médicinales, les compléments alimentaires, les cosmétiques naturels… Il peut travailler dans une coopérative de fruits et légumes bio, une enseigne de produits bio, un magasin de cosmétiques naturels. Il pourra aussi, proposer la vente de produits naturels au sein de son cabinet (exemple : proposer des huiles essentielles ou des compléments alimentaires pour rétablir l’équilibre et le bien-être).
⇒ Ecriture : le naturopathe pourra, après quelques années de pratique de son métier, participer à un collectif d’écriture ou écrire un ouvrage dans un domaine précis qui lui est cher. C’est ainsi que de nombreux livres de références en naturopathie proviennent des travaux personnels et de recherches menées sur plusieurs années de naturopathes passionnés par leur métier. A l’ère du numérique, certains vont plutôt s’orienter sur la conception et la réalisation d’un site internet dédié en s’entourant de professionnels de l’informatique et en construisant le contenu du site soit seuls, soit avec des spécialistes d’autres métiers du bien-être.
⇒ Enseignement/Formation : là encore, il faut attendre d’avoir quelques années d’expérience et avoir renforcé ses propres connaissances théoriques et pratiques du métier pour transmettre ensuite ce savoir. Cependant, un naturopathe passionné par son métier et ayant un réel attrait pour la formation, pourra se proposer auprès d’écoles et de centres de formations pour enseigner la naturopathie.
⇒ Chrono-nutrition : la chrono-nutrition se base sur l’horloge biologique et permet de pouvoir consommer certains aliments – qui seraient interdits dans les régimes amaigrissants – à certains moments de la journée. La chrono-nutrition permet de pouvoir manger de tout sans subir de déséquilibres alimentaires comme dans un régime trop restrictif. Elle a été conçue par le Docteur Delabos, lors d’études menées sur des personnes carencées de son service gériatrie. La chrono-nutrition permet aussi de retrouver plus de vitalité, un meilleur sommeil et d’être globalement plus en forme. Une spécialisation du naturopathe en chrono-nutrition lui permettra d’aider ses patients à mieux se nourrir et à se sentir mieux globalement.
Le naturopathe peut aussi faire ses propres recherches, assister à des conférences et des colloques en lien avec certaines pathologies les plus fréquentes et se spécialiser dans la prévention des ces pathologies. Par exemple, il peut travailler en amont chez des sujets qui souffrent et souffriront de plus en plus d’arthrose en conseillant sur des aliments et des compléments nutritionnels permettant d’éviter les crises. Il peut conseiller certaines pratiques sportives douces et ciblés pour ce type de pathologies. Le naturopathe peut aussi se spécialiser dans les troubles du sommeil et de l’endormissement ou encore dans l’aide à l’arrêt du tabac en conseillant certaines médecines douces (relaxation, sophrologie, hypnose) et en conseillant des traitements par des plantes adaptées et un travail régulier sur la respiration. Il pourra aider la personne à reprendre l’habitude de se nourrir de façon raisonnable et sans excès, ce qui peut souvent représenter un problème pour une personne qui cherche à arrêter de fumer.
Sous l’appellation « Développement personnel et bien-être de la personne », on pourra retrouver plusieurs métiers du bien-être comme le naturopathe, le relaxologue, le sophrologue, le coach en développement personnel et généralement toutes les techniques et les métiers favorisant l’équilibre de la personne et le retour au bien-être.
Ces métiers du bien-être peuvent s’exercer dans un cabinet (connaissance de la gestion d’un cabinet enseignée dans les formations), mais aussi dans un centre de remise en forme ou parfois au domicile du particulier. Le thérapeute pourra travailler avec des intervenants d’autres horizons dans la pratique de son activité (exemple : personnels de santé).
Outre la maitrise des connaissances techniques de son métier, il faut aussi connaitre et savoir appliquer les techniques d’écoute et de relation à la personne.
Les activités de bien-être recensées sur la fiche Rome K1103 sont les suivantes :
La liste des métiers du bien être est longue, mais permet à chacun d’y puiser ce qui fonctionne le mieux pour lui-même. En effet, le choix d’un métier pour un praticien en bien être est souvent affaire de personnalité. Cependant tous les praticiens ont souvent en commun l’envie d’aider les autres à retrouver un équilibre général et un meilleur épanouissement. Tous les thérapeutes souhaitent exercer une activité de bien être qui leur correspond et qu’ils pourront transmettre avec passion à leur clientèle. C’est grâce à cette passion qu’ils pourront être écoutés et obtenir des résultats positifs rapides. C’est aussi par cette approche de leur métier qu’ils peuvent se faire une rapide et solide renommée et évoluer dans leur profession. Même si la France semble en retard par rapport à d’autres pays dans le domaine du bien-être et des médecines douces, la tendance est en train de s’inverser. Selon l’adage « mieux vaut prévenir que guérir », la démarche est aujourd’hui de tout faire pour vivre plus sainement, pratiquer une activité sportive, mieux s’alimenter afin d’éviter le plus longtemps possible de tomber malade et de devoir prendre des médicaments.
Les métiers selon la fiche ROME K1103
Les métiers du bien-être sont rattachés à la fiche emploi référence ROME K1103.Sous l’appellation « Développement personnel et bien-être de la personne », on pourra retrouver plusieurs métiers du bien-être comme le naturopathe, le relaxologue, le sophrologue, le coach en développement personnel et généralement toutes les techniques et les métiers favorisant l’équilibre de la personne et le retour au bien-être.
Ces métiers du bien-être peuvent s’exercer dans un cabinet (connaissance de la gestion d’un cabinet enseignée dans les formations), mais aussi dans un centre de remise en forme ou parfois au domicile du particulier. Le thérapeute pourra travailler avec des intervenants d’autres horizons dans la pratique de son activité (exemple : personnels de santé).
Outre la maitrise des connaissances techniques de son métier, il faut aussi connaitre et savoir appliquer les techniques d’écoute et de relation à la personne.
Les activités de bien-être recensées sur la fiche Rome K1103 sont les suivantes :
- Auriculothérapie, iridologie,
- Aromathérapie, herboristerie, phytothérapie,
- Bioénergie,
- Etiopathie,
- Fascia thérapie ;
- Kinésiologie ;
- Naturopathie ;
- Médecine Chinoise,
- Réflexologie ;
- Reiki ;
- Sophrologie, relaxation ;
- Shiatsu,
- Yoga,
- Tai Chi
La liste des métiers du bien être est longue, mais permet à chacun d’y puiser ce qui fonctionne le mieux pour lui-même. En effet, le choix d’un métier pour un praticien en bien être est souvent affaire de personnalité. Cependant tous les praticiens ont souvent en commun l’envie d’aider les autres à retrouver un équilibre général et un meilleur épanouissement. Tous les thérapeutes souhaitent exercer une activité de bien être qui leur correspond et qu’ils pourront transmettre avec passion à leur clientèle. C’est grâce à cette passion qu’ils pourront être écoutés et obtenir des résultats positifs rapides. C’est aussi par cette approche de leur métier qu’ils peuvent se faire une rapide et solide renommée et évoluer dans leur profession. Même si la France semble en retard par rapport à d’autres pays dans le domaine du bien-être et des médecines douces, la tendance est en train de s’inverser. Selon l’adage « mieux vaut prévenir que guérir », la démarche est aujourd’hui de tout faire pour vivre plus sainement, pratiquer une activité sportive, mieux s’alimenter afin d’éviter le plus longtemps possible de tomber malade et de devoir prendre des médicaments.